Rédigé par Saoudi Abdelaziz et publié depuis
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« Moi je définis l’action de ce système comme un coma permanent, un état végétatif dont souffrent nos proches. Finalement, c’est le mélancolique qui vit dans la tourmente. C’est une sensation de souffrance, mais c’est mieux que les comateux et les anesthésiés. Depuis la naissance jusqu’au
dernier souffle, c’est la vie, on ne juge pas la vie me disait un ami ».
Le
condjador a préféré se passer de mes services de correcteur pour garder intacts les accents de sa longue mélopée, publiée aujourd’hui sur son blog Jijel-direct