Les étudiants bougent

Les résidents à la cité universitaire Tamda II de l'université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou reviennent à la charge.  Ils organisent aujourd’hui une marche de protestation à Tizi Ouzou pour dénoncer «l'état chaotique de leur résidence, que ce soit du point de vue de la sécurité, couverture médicale, infrastructures, hébergement, socio-pédagogie et gestion», peut-on lire dans une déclaration rendue publique hier.

A la faculté de gestion de Dély-Ibrahim, le mouvement de grève prend de l’ampleur. Parti du problème des modalités de délibération des jury, le mouvement met le doigt sur l’incohérence des textes réglementaires et des fameux « arrêtés » et l’arbitraire qui anime la politique de sélection et de « qualité »mise en oeuvre par le ministère. La situation devient inextricable.

Grève à la faculté des lettres de Tebessa

Les étudiants de la filière «organisation et travail» ont entamé jeudi une grève pour dénoncer le manque d’amphithéâtres et des salles de TD (travaux dirigés). Cette situation entrave le bon déroulement de leurs études.  Ces étudiants font constamment le tour de l'université pour trouver un amphithéâtre ou des salles libres pour leurs séances de cours.