18 Avril 2014
Pablo Neruda qui obtint en 1971 le prix Nobel de littérature, onze ans avant Garcia Marquez, dit à propos de Cent ans de solitude, l'œuvre majeure de son cadet : " C'est le plus grand roman écrit en langue espagnole depuis Don Quichotte ».
Lu dans la biographie de Gabriel Garcia Marquez publié hier soir dans le journal Le Monde : "Il arrive à Paris en pleine guerre d'Algérie, fréquente les milieux du FLN et, pour délit de faciès, s'expose ainsi aux « ratonnades » alors pratiquées par la police française".
Gabriel Garcia Marquez qui voulait que le monde devienne socialiste disait: «Je crois qu'il le sera tôt ou tard. J'ai des idées politiques bien établies, mais mes idées littéraires changent selon ma digestion.»
Je n'ai pas encore réussi à trouver des récits sur la "période FLN" de l'écrivain. On connait davantage les circonstance de son soutien constant à la Révolution cubaine. Dès 1959, il se rend dans l'ile et se lie d'amitié avec Fidel Castro, pour toujours.